Justice raciale : l’UE promeut le wokisme et la cancel culture !

Lors de la session plénière des 9 et 10 novembre, le Parlement européen, le Conseil et la Commission européenne ont débattu d’un rapport intitulé « Justice raciale, non-discrimination et lutte contre le racisme dans l’UE ». Adopté le 19 octobre 2022 par la commission des libertés civiles du Parlement européen, ce rapport militant a pour but de combattre « toutes les formes de racisme et de discrimination ». Pourtant, cette même commission refuse de reconnaître le racisme anti-blanc et les actes christianophobes. Si ce rapport est profondément dangereux, c’est qu’il promeut la cancel culture et le wokisme en reprenant le langage de l’intersectionnalité et de la théorie postcoloniale. De ce fait, il encourage le communautarisme et favorise les statistiques ethniques en appelant à toujours plus d’inclusion et de diversité. Cela va profondément à l’encontre de notre approche républicaine fondée sur le mérite. Pire encore, il considère les cultures européennes comme opprimantes et racistes, accuse la police de violence à l’encontre des personnes « racialisées » et criminalise toute dénonciation de l’invasion migratoire que les peuples européens subissent.

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Durant la session plénière des 9 et 10 novembre, le Parlement européen, le Conseil et la Commission européenne ont débattu d’un rapport intitulé « Justice raciale, non-discrimination et lutte contre le racisme dans l’UE ». La stratégie qu’il établit est destinée à être appliquée par la Commission européenne et par les États membres. Sous couvert d’antiracisme, ce rapport dangereux fait la promotion du wokisme et de la cancel culture, accuse la police de violence à l’encontre des personnes « racialisées » et considère les cultures européennes comme opprimantes et racistes. Niant le racisme anti-blanc, il balaye également d’un revers de main les nombreux actes christianophobes. Pire encore, il va jusqu’à criminaliser toute dénonciation de l’invasion migratoire, toute critique de la montée de l’islamisme que les peuples européens subissent. Ce texte militant reprend le langage de l’antiracisme, de l’intersectionnalité et de la théorie postcoloniale. De ce fait, il encourage le communautarisme et favorise les statistiques ethniques en appelant à toujours plus d’inclusion et de diversité. Cela va profondément à l’encontre de notre approche républicaine fondée sur le mérite. Députés de la Délégation française du Groupe Identité et Démocratie, nous nous opposerons à ce rapport délirant lors de son vote en session plénière. Mobilisez-vous à nos côtés !

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